Test NZXT N7 Z690 : La carte mère qui signe la sobriété à l’état pur

La totalité des composants d’un ordinateur repose sur la carte mère, c’est pourquoi le choix de celle-ci est très important. En effet, il dépend de votre utilisation de celle-ci, mais surtout des composants que vous voulez placer dessus. Cette NZXT N7 Z690 est spécialement faite pour les processeurs Intel de 12^ème génération avec bien entendu son lot de nouveautés. Cette carte mère offre son lot de fonctionnalités dans un design sobre et épuré.

Design

Ce que j’aime avec NZXT, ce sont les efforts faits sur toute la partie design de leurs produits, qui sont d’une sobriété absolue. En effet, là où la plupart des cartes mères de la concurrence vont laisser apparaitre des PCB simplement peints, ici NZXT a fait le choix de cacher la quasi-totalité de la carte mère avec des caches en aluminium blanc. Il faut noter que l’on dispose ici d’une carte mère au format ATX, donc un format complet qui permet de bien ressortir dans un boitier en plus de permettre de grosses capacités d’évolution.

Cette simplicité faite de cette carte mère NZXT, l’élément parfait d’une configuration de setup minimaliste surtout dans le magnifique boitier NZXT H7 Flow, qui offre les mêmes couleurs et matériaux que les dissipateurs de la carte mère, ce qui les rend parfaitement compatibles d’un point de vue esthétique.

Sur la partie haute de la carte mère, on retrouve bien entendu le socket qui permet de placer le processeur en place. Sur le tour on retrouve donc les VRM qui sont recouvertes d’un dissipateur blanc et noir percé de petits trous sur sa partie droite. À gauche il y a les quatre emplacements pour les barrettes mémoires qui sont en support DDR4 noires.

Sur la droite de celle-ci, se place une plaque d’aluminium blanche qui laisse juste passer le port 24 pins ainsi que le port USB Type-C du front panel, avec sur le côté les ports SATA ainsi que le port USB 3 broches du front panel également.

Sur la gauche on retrouve la partie qui cache les I/O en noir. L’I/O shield est assez complet et dispose de tout le nécessaire, ce qui comprend les éléments suivants :

• 1 port HDMI
• 2 ports USB 2.0 (dont un bios update)
• Bouton Clr CMOS
• Bouton Bios Flashback
• 2 ports USB 3.2 Gen 1
• 1 Ethernet 2.5Gb
• 3 ports USB 3.2 Gen 2 (dont un enUSB Type-C)
• 2 ports Type-A + 1 x Port Type-C
• 1 port USB 3.2 Gen 2×2
• 2 antennes Intel Wi-Fi 6E
• Bluetooth 5.2
• Sortie optique S/PDIF
• 5 Prises Jack

Juste en dessous de la partie socket, on retrouve bien entendu les différents ports PCI Express qui permettent de connecter toutes les cartes d’extension possibles comme une carte graphique, une carte son, des ports USB supplémentaires, une carte Thunderbolt, des cartes de capture vidéo et tant d’autres. On compte trois ports PCIe x 16 ainsi que deux ports en x1 ce qui permet déjà de belles possibilités d’extension.

Toute cette partie PCI est recouverte par des plaques blanches qui cachent le PCB de la carte mère, mais qui servent également de dissipateurs pour les ports M.2 des SSD qui se comptent au nombre de trois, ce qui laisse une possibilité d’un stockage conséquent. Petit point sur le port PCIe en x16 tout en haut.

Il est utilisé pour connecter la carte graphique et se distingue par un renforcement métallique sur sa longueur, ce qui lui donne un aspect assez sympa ainsi qu’une possibilité d’y placer des cartes assez lourdes comme une MSI Geforce RTX 3070 Ti Suprim X par exemple.

Tout en bas, se placent les différents pins de connexion qui servent à connecter les ports USB du front panel avec les boutons, les ports de sortie audio ainsi qu’un port UART que j’expliquerai plus tard. On retrouve également un bouton Reset ainsi qu’un bouton Power qui permettent de forcer l’allumage ou la réinitialisation de la carte mère en cas d’utilisation sur une table de bench, ce qui est très pratique, car on ne les retrouve pas sur toutes les cartes mères.

Caractéristiques de la NZXT N7 Z690

Comme je l’ai dit dans l’introduction de ce test, cette carte mère repose sur le socket Z690, qui offre le support des processeurs Intel de 12^ème génération sur l’architecture x86_64 Alder Lake. Cette architecture reprend les codes de la plateforme ARM avec une séparation des cœurs en deux parties distinctes.

En effet, sur un Intel Core i5 12600KF on dispose de 10 cœurs et 16 threads, car six d’entre eux sont utilisés en hyperthreading (donc doublés). Les quatre autres sont consacrés à l’efficience, c’est-à-dire que si votre usage ne demande pas de ressources, seuls ces deux cœurs seront utilisés afin de consommer le moins d’énergie possible.

Pour rappel un chipset est un multiplexeur intégré à la carte mère qui permet la coordination entre les différents composants placés sur celle-ci, ce qui comprend la mémoire, le CPU, le GPU et tous les appareils PCIe que vous voulez placer dessus. Un chipset est ainsi composé de deux éléments principaux :

• Le Northbridge, qui s’occupe du trafic de données entre le CPU et la RAM.
• Le Southbridge, qui s’occupe des périphériques d’entrée et de sortie comme l’USB ou le/les PCI par exemple.

La plateforme Z690 se destine aux processeurs de série 12 de chez Intel pour les PC de bureau. Le chipset propose un bus avec un transfert de 8 GT/s avec un maximum de 2 barrettes par canal mémoire, ce qui est normal pour du dual channel (le triple et le quad étant réservés à des applications spécifiques de serveur et de workstation). De plus il propose une configuration USB intéressante :

• Quatre USB 3.2 Gen 2×2 (20 Gb/s)
• Dix USB 3.2 Gen 2×1 (10 Gb/s)
  
• Dix USB 3.2 Gen 1×1 (5 Gb/s)
• Quatorze USB 2.0
  

On a là une belle plage de possibilité de connexion de périphériques externe. Croyez-moi que personne n’a autant de besoins sur ce genre de carte mère. En dehors de cela elle est assez classique. Il faut tout de même noter que ce chipset support à la fois la DDR4 et la DDR5. Sur cette NZXT N7 Z690 on dispose de port compatible DDR4 uniquement.

Connectique

Le choix d’une carte mère dépend certes beaucoup de l’esthétique, néanmoins, il faut garder à l’esprit qu’il faut la choisir en fonction de ses besoins et de ce que l’on souhaite y connecter. Cette carte mère offre des connectiques assez diverses, ce qui est un excellent point pour une carte mère .

Une carte mère est par définition un ensemble d’entrées / sorties qui permettent la connexion de différents périphériques internes et externes pour étendre les possibilités de votre ordinateur de bureau comme des SSD, GPU, cartes d’acquisitions, claviers, souris, cartes son, écrans, appareils Thunderbolt et autres.

PCI express et M.2

Dans un premier temps, intéressons-nous à la partie stockage. La nouvelle norme en termes de port PCIe est le Gen 5 qui double la bande passante de la génération précédente. Toutefois, ici on ne dispose que du Gen 4 pour ce qui est du stockage, ce qui me semble assez logique au vu du fait que les SSD NVMe actuellement présents sur le marché ne disposent pour l’instant que de la norme Gen 4, avec des débits allant déjà à quasiment 7500 Mo/s, ce qui est déjà bien suffisant pour des transferts de fichier actuellement.

En dehors de cela les autres ports en x16 bénéficient de la dernière norme en vigueur, ce qui ne change pas grand-chose dans les faits sur la plupart des périphériques actuels, notamment les cartes graphiques. Fut un temps on sentait la différence sur les configurations multi-GPU en CrossfireX par exemple, mais au vu de la rareté de leur usage de nos jours cela n’a plus vraiment d’intérêt. On dispose donc de la configuration suivante :

De plus ayant fait personnellement le test du même GPU sur du PCIe Gen 2, Gen 3 et Gen 4 aucun gain de performance n’est à remarquer, cela n’a donc pas une influence réelle en dehors du stockage et de certaines cartes qui ont besoin de transfert très rapide constamment.

On dispose donc de trois ports PCIe en x16 qui supportent le multi-CPU sans problèmes au vu des 28 lignes PCIe disponibles, ce qui est un bon point. En dehors de cela, rien de vraiment spécifique à cette carte mère NZXT.

I/O Shiel

L’i/O shield permet de connecter la totalité de ses périphériques externes comme sa souris, son clavier, sa carte son, et autres. Ici, les entrées sorties sont assez bien fournies dans l’ensemble, bien que ce soit assez basique. On dispose donc des éléments suivants :

• 1 port HDMI
• 2 ports USB 2.0 (dont un bios update)
• Bouton Clr CMOS
• Bouton Bios Flashback
• 2 ports USB 3.2 Gen 1
• 1 port Ethernet Realtek 2.5Gb
• 3 ports USB 3.2 Gen 2 (dont un enUSB Type-C)
• 2 ports Type-A + 1 x Port Type-C
• 1 port USB 3.2 Gen 2×2
• Intel Wi-Fi 6E
• Bluetooth 5.2
• Sortie optique S/PDIF
• 5 prises Jack

Je trouve que pour une carte mère milieu de gamme comme celle-ci c’est excellent dans l’ensemble. On dispose de tout le nécessaire afin de profiter de tous les périphériques possibles avec une connectivité optimale grâce au Wi-Fi, au Bluetooth et au port Ethernet disponibles.

Alimentation

Bien entendu, tout cela nécessite du courant sinon ce sera seulement un objet de déco sympa, mais pas très utile. Les connectiques d’alimentation sont ici assez classiques au vu du fait que cela dépend de norme et de ce que la carte mère supporte. En effet, on dispose d’un port 8 pins + 4 pour l’alimentation du processeur avec un 24 pins pour l’alimentation de la carte mère.

Au niveau des phases d’alimentation, on dispose de DrMos en 12+1, ce qui n’est pas mal du tout, toutefois pour de l’overclocking ce sera un peu léger, il faudra rester calme sur ce point-là. Néanmoins, pour ce genre de carte mère surtout avec la série de processeurs Alder Lake c’est parfaitement suffisant en plus d’être cohérent.

Le BIOS

Le BIOS de cette carte mère est aussi simple que complet, c’est à l’image de la marque NZXT, que l’on apprécie beaucoup à la rédaction de CharlesTech. En effet, on dispose de nombreuses options. On dispose ici d’un BIOS UEFI qui est le remplaçant du BIOS classique. Ce format permet d’offrir une interface graphique plus claire avec des options plus poussées que ce que proposaient nos Bios de l’époque.

Les BIOS UEFI permettent les options suivantes :

• Prise en charge des fonctionnalités réseau (Wi-Fi, Bluetooth)
• Prise en charge du 64bits (jeux d’instruction plus large)
• Prise en charge des disques supérieurs à 2,2 To
• Espace mémoire plus grand (totalité de la RAM prise en compte)
• Prise en charge du secure boot et Fast Boot
• Démarrage plus rapide sur le BIOS

Au premier démarrage de celui-ci, on dispose d’une page simplifiée qui permet de voir le récapitulatif des différents composants, l’ordre de démarrage ainsi que le choix du profil XMP pour l’overclocking de la RAM. Toutefois, en appuyant sur F6, on accède à un menu plus complet qui permet une configuration bien plus détaillée.

La première partie intéressante se trouve dans l’onglet Overclocking. Je ne vous fais pas de dessin sur son utilité, toutefois je vais la détailler un peu. Ici, on a la possibilité de modifier les fréquences et le voltage du processeur qui permet un gain de performances. De plus, on a la possibilité de changer les paramètres de performance de la RAM de manière bien plus poussée avec la possibilité d’enregistrer des profils afin de pouvoir affiner ses réglages. Notez tout de même que cette partie se réserve aux utilisateurs expérimentés.

Dans l’onglet de configuration avancée, on peut modifier les réglages du processeur en activant par exemple la virtualisation. On peut également modifier les paramètres de stockage, les options du chipset, l’USB ainsi que les ports PCI Express.

La partie Tool permet d’effectuer des tests de stockage et de RAM, mais on peut également flasher un BIOS (pour une mise à jour par exemple), cet onglet est assez peu utilisé, mais, il reste assez pratique en cas de besoins.

PC Monitoring permet de surveiller les tensions des ventilateurs, les températures des composants ainsi que les vitesses des différents ventilateurs. Ici, le tout repose sur les différents capteurs de la carte mère. On peut bien évidemment modifier les courbes de ventilation des ventilateurs PWM, mais aussi les réglages du watercooling si vous en avez un d’installé, c’est assez pratique.

L’onglet sécurité est assez basique, il permet simplement d’assigner un mot de passe administrateur sur le BIOS. Toutefois on peut accéder au SecureBoot et à l’option Intel Platform Trust Technologie qui permet de vérifier ce qui démarre afin d’éviter les exploitations de failles dans le démarrage (boot process exploit).

Enfin la partie boot permet de choisir l’ordre de démarrage du système, le temps d’attente pour l’accès au BIOS avec le choix de la taille du logo de démarrage et autre. L’onglet Exit permet de sauvegarder les modifications ou de restaurer les paramètres par défaut, ce qui est pratique. Un BIOS simple, mais efficace qui dispose de tout le nécessaire.

Performances

Il faut prendre en compte que les performances dépendent principalement des composants ajoutés à la carte mère. De plus de ce que j’ai pu tester personnellement, une carte mère ne change pas fondamentalement les scores en jeu ou en Benchmark. Néanmoins il faut qu’elle supporte la chauffe des différents composants ainsi que leur alimentation. Pour tester cette carte mère, nous avons utilisé la configuration suivante :

• Processeur : Intel Core i5 12600KF
• Carte graphique : NVIDIA GeForce RTX 3090 FE
• RAM : Lexar Hades 3600 MHz DDR4
• SSD : Western Digital WD Red SN700

Une configuration bien sympa n’est-ce pas ? En effet, ça fonctionne assez bien, tout du moins pour 99% des usages d’un PC comme celui-ci. Pour du gaming, de la productivité et autre, c’est juste parfait avec un look très sympa en plus des performances.

Processeur

Du côté du processeur, nous avons donc opté pour un Intel Core i5 12600KF qui offre des performances bien supérieures à ce qu’offrait la 11^ème génération. En effet, avec une toute nouvelle architecture nommée Alder Lake, on dispose d’un fonctionnement proche de ce que propose ARM avec un mélange d’efficience et de performance dans la gestion des cœurs du CPU.

Nous avons donc passé le 12600KF sous quelques benchmarks comme nous l’avions déjà fait auparavant. L’idée ici est de voir s’il y a une différence dans les résultats entre différentes cartes mères avec le même socket. Sous Cinebench R23, les résultats ne sont pas différents, à quelques points prêts. En effet, la seule différence pourrait être possible si le chipset changeait, mais ce ne sera pas non plus significatif.

Carte graphique

Du côté du GPU nous lui avons gentiment placé une NVIDIA GeForce RTX 3090 Founders Edition qui ne laisse pas indifférente au vu de ses performances plus que bonnes. On parle quand même de l’une des meilleures cartes graphiques du marché. Cette carte fonctionne donc en PCIe Gen 5, mais il faut noter que cela n’influe pas sur les performances graphiques, la différence réelle avec les générations précédentes est surtout du côté de la bande passante du bus qui est encore une fois doublé. Toutefois, les performances réelles ne seront pas impactées par cette différence.

Mais vous n’aurez en réalité que 1 ou 2% de différence que ce soit en Gen 2, Gen 3 ou Gen 4, ne voir même Gen 5 rien ne change réellement la différence entre les révisions PCI. Cette bande passante doublée se ressent surtout dans les configurations multi-GPU. Toutefois au vu de la rareté de celles-ci, je pense que ce point ne devrait, pas avoir une influence sur le choix d’une carte mère pour une utilisation classique. En dehors de cela, les performances de cette RTX 3090 sont impressionnantes, et ce sans surprise.

RAM

Pour ce qui est de la RAM, cette carte mère ne dispose pas du support de la DDR5. Certains penseront surement que c’est un problème, toutefois bien que les fréquences et les débits de la DDR5 soient bien plus élevés, le gain de performances réel n’est pas si flagrant que ça. En effet, en jeu vous ne ressentirez jamais la différence, seuls quelques logiciels auront l’usage de ces performances supérieures. Nous avons donc choisi notre bonne vieille Lexar Hades 3600 MHz DDR4 CL16 qui offre des performances convaincantes.

En effet après un petit passage sur Aida64, les débits offerts sont tout à fait cohérents par rapport à ce que j’ai vu sur d’autres cartes mères avec le même kit de RAM. Pas besoin de plus pour une configuration

SSD

Pour ce qui est du SSD, nous disposons d’un Western Digital WD Red SN 700 qui support au maximum le PCIe 3. Toutefois, sur cette carte mère, les ports NVMe sont en PCIe 4. En testant ce WD Red SN700, nous avons obtenu légèrement plus que les débits théoriques annoncés pour du PCIe 3, c’est donc sans problème que les débits maximums possibles du PCIe 4 seront atteint avec un SSD compatible.

Les performances en stockage seront donc clairement bonnes sur cette carte mère NZXT N7 Z690. Prenez d’ailleurs en compte que cette carte mère dispose de trois ports pour stockage en PCIe ce qui est excellent. En dehors de cela, on retrouve bien évidemment six ports Sata 6GB/s qui permettront la connexion de disques durs ou de SSD Sata en 2,5 pouces, ce qui peut permettre de grosses capacités de stockage.

Connexion réseau

La connexion réseau est un point clé dans le choix d’une carte mère. En effet, avec une carte Intel Wi-Fi 6E AX210 on dispose de débits plus que satisfaisants en connexion sans fil. En effet, le Wi-Fi 6E est la dernière norme en termes de connectivité sans fil et permet des résultats de connexion impressionnants.

Toutefois, si votre routeur ne permet pas une connexion en Wi-Fi 6E, il reste possible de connecter cette carte mère en Ethernet via le port 2,5 Gb/s qui offre des débits stables et de haut vol. Il ne faut donc pas attendre le moindre problème de ce côté là. En effet, que ce soit pour du jeu ou du téléchargement, les performances de connexion seront optimales et simplement excellentes.

Performances générales

D’un point de vue général, cette carte mère supporte des composants très haut de gamme, bien qu’elle ne soit pas un facteur de performance réel. Certes, nous n’avons pas mis de i9 avec 128 Go de RAM ici, toutefois avec ce petit i5 et cette belle RTX 3090 Founders Edition, les performances sont tout bonnement excellentes dans l’ensemble.

Cette carte mère NZXT N7 Z690 permet de superbes configurations avec les dernières technologies en vogue (en dehors de la DDR5). C’est une excellente carte mère très complète et évolutive qui en plus de cela offrira un design sobre, très agréable.

Test NZXT N7 Z690 : Avis

Cette carte mère NZXT N7 Z690 est juste excellente. Elle offre des possibilités d’évolution excellentes avec un design très sobre et d’excellente qualité. On note ici la sobriété absolue qu’aime tant la marque NZXT mais sans pour autant faire de concession sur la praticité de celle-ci et sur ses fonctionnalités et son évolutivité. Un excellent produit de la part de NZXT.